On n'est pas mauvais perdant. Quand on n'a pas été bon et qu'on est éliminé, rien à dire. Personne ne croyait vraiment que les Australiennes, gonflées à bloc après avoir vaincu les Belges, s'inclineraient jeudi face aux Biélorusses que nous avions battues lundi, surtout que Tomljanovic (43e mondiale) était cette fois de la partie. Les dés sont donc jetés, on rentre à la maison. Pour autant, la question demeure : à quoi riment et où vont nous mener de telles phases finales où la plupart des matches se disputent dans des salles vides ? Etat des lieux.
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